TEXTES ALBUM Bonbon club

Instrumental

(Musique de Michel Propilosky)

Durée 4:05

Mon ascenseur

(paroles et musique de Michel Propilosky)

A tes pieds serrés, j’ai rêvé ton nom et de voler si haut comme les oiseaux. Puis là j’ai compris, que je n’avait pas besoin d’ailes Pour trouver le ciel des gens amoureux.

Tu m’as dit, monte, monte, monte, dans mon ascenseur. Monte, monte, monte tout en douceur.

Au premier étage, j’ai vu tes genoux. Je suis resté sage dans cette cage de fou. Au deuxième étage, je me suis arrêté, sur une plage sauvage d’anches enchantées.

Tu m’as dit, monte, monte, monte, dans mon ascenseur. Monte, monte, monte tout en douceur.

Au troisième étage, là j’étais coincé Sur ton ventre doux, au feu les pompiers Au quatrième étage, j’ai pris rendez-vous Finit le blocage, j’étais sur ton cou

Tu m’as dit, monte, monte, monte, dans mon ascenseur. Monte, monte, monte tout en douceur.

Au cinquième étage, un parfum discret A envahie la cage, mais c’est ta bouche salée Au dernier étage, pris dans tes cheveux Là, j’ai fait naufrage, j’étais aux cieux

Tu m’as dit, monte, monte, monte, Dans mon ascenseur monte, monte, monte N’ai pas peur

Là, je redescend, via le rez-de-chaussée, rien que pour le plaisir de recommencer. A tes pieds serrés, j’ai rêvé ton nom et de voler si haut comme les oiseaux.

Tu m’as dit, monte, monte, monte Dans mon ascenseur Monte, monte, monte Tout en douceur

Margot Instrumental

(Musique de Michel Propilosky)

Michel Propilosky - Margot from michel propilosky on Vimeo.

Durée 2:43

Je suis

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

Je suis le ruisseau qui se jette dans ton fleuve

Et toi tu es le sang qui coule dans mon cœur

Je suis ta bague bien attachée à ta main

Et toi l’anneau qui court au creux de mes reins

Je suis tout-ça et mieux que ça, car l’on dit de moi

Je suis l’alarme du matin de ton sommeil

Et puis la grappe qui fleurie d’une récolte sans pareil

Et toi tu es le soleil qui me donne son eau

Quand dans ma vie les mots ressemblent aux sanglots

Je suis tout-ça Et mieux que ça, car l’on dit de toi

Tu es la valse qui se danse toujours à trois temps

Et aussi le sacre qui se fête au printemps

Je suis le grain de riz qui fleuri comme amant

Et puis l’abeille qui butine ton âme constamment

Je suis tout-ça et mieux que ça, car l’on dit de moi

Tu vois je suis le temps qui veut ton harmonie

Qui s’en va et qui vient au bonheur sans soucis

Je suis les secondes qui répondent au passé

Et aussi le futur qui se voit toujours bien composé

Nous sommes tout-ça Et mieux que ça, car l’on dit tout bas Nous sommes tout-ça

Durée 3:15

Je n'oublie rien

( Paroles de Marianne Bè et Michel Propilosky )

Je n'oublie rien de mon enfance

Quand vous vous êtes séparés

Je n'oublie rien de mon errance

Qui tout le temps me poursuivait

Parfois je perds aussi le fil

De mon histoire trop mal contée

Je n'oublie rien et on est face

Aux choses que doit accepter

Je n'oublie rien, mais cela recommence De faire comme eux, de se quitter Parfois aussi je me rappelle Que mon chemin était piégé Je n'oublie pas les bonnes portes, qui se sont ouvertes sans les clés Je n'oublie rien, mais les distances Avec toi m'ont créé des plaies Parfois je retrouve la chance D'un amour trop bien caché Je n'oublie pas toutes nos craintes qui, peu à peu nous ont usés. Je n'oublie rien de nos galères. Les jeux sont faits, les dés jetés. Les dés jetés.

Durée 2:38

Tu es ce que tu es

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

Oh, il a les cheuveux bruns , non ils sont marron Ah, il a les yeux bleus , non ils sont marron Oui, ses mains ressemblent aux tiennes, non ce sont les tiennes Et son nez tu as vu son nez ! c'est le tien , non c'est le mien

Tu es ce que tu es Et moi je t'aime J'aime ce que tu as Tu as tout d'elle en toi Tu es ce que tu es Et moi je t'aime J'aime ce que tu as Tu as un peu de moi La vie coule dans ton sang. Bon-sang tu as de la veine. Les chercheurs d'or ont prendront de la graine mon trésor. Sans les jours et sans les semaines et avec eux tu resteras, ce que. Tu es ce que tu es Et moi je t'aime J'aime ce que tu as Tu as tout d'elle en toi Tu es ce que tu es Et moi je t'aime J'aime ce que tu as Tu as un peu de moi

Durée 2:40

Freine

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

Quand tu n'auras plus besoin de courir Pour voir ta peur s'inscrire dans ton avenir Quand tu pourras aussi perdre ton temps Ou le donner sans le doubler au présent Alors, freine, freine. Quand tu lâcheras tes heures supplémentaires Pour les répartir avec d'autres sur notre terre Retiens moi ou alors je vais agir Le droit à la paresse devrait te convenir Alors, freine, mais freine Quand les avions-nous transportent dans l'azur. Le progrès parle de sa puissance à vive allure Alors, mon amour qui est responsable De cette course, qui n'est plus soutenable. Retiens moi, freine, freine Quand les jours s'allongent dis-moi pourquoi Tu dois faire mille choses à la fois Retiens moi ou alors je vais partir Car leur croissance n'est pas mon avenir Et je dis freine et tu freines, oui ont freine

Durée 2:53

De toi en moi

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

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De toi en toits, de moi en moi, je voudrais garder mon beau lit douillet et mes repères, oui s'il vous plait. De vis-à-vis, de par en part, il ne faut pas me couper ni de moitié ni d'un quart, mais quel cauchemar. De si de là, de dos-à-dos, vous ne déchirez pas pour moi, il faut y aller mollo, au bon tempo. De conte en compte, de Laure en or, toujours la même histoire elle n'est plus ton beau trésor, mais tu as tort. De saut en sot, de plat en plat, je donnerai tout pour avoir un seul chez moi, il faut faire un choix. De toi en moi, de moi en toits, je passerais au-dessus de toutes mes blessures, il faut qu'on me rassure. De mieux en mieux et c'est peu à peu, que vous arriveriez enfin à vous arranger, l'on peut s'aimer. De mets en mai, de bas en haut, c'est difficile l'équilibre en gravitation zéro, c'est bien trop beau. De toi en moi, de moi en toits, j'irais construire mon nid douillet au cœur de votre amour et pour toujours.

Durée 3:33

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

C'est la rose des vents celle que l'on ne peut cueillir, qui passe dans le temps, qui crée des souvenirs. Je me souviens enfant, au nord de mes trois ans, ton parfum comment dire Celui de ma maman qui me berçait le soir pour m'endormir. C'est la rose des vents Celle qui ne peut s'ouvrir. Qui passe et que l'on attend et qui nous fait rougir. Je me souviens plus grand du sud de mes vingt ans, ton super sourires. Toi mon amour récent toi et moi tout le temps et tout pour l'avenir. C'est la rose des vents Celle que l'on ne peut s'offrir. Qui tourne et valse gaiment et qui nous fait grandir. Je suis devenu papa A l'est de ses bras Et pour le soutenir Voici tes parents Qui s'aiment pour l'instant Pour le meilleur et pour le pire C'est la rose des vents celle que l'on ne peut tenir. Elle a trop de piquants, elle nous blesse à trahir. Je ne suis plus avec toi A l'ouest je te vois Et notre enfant est là. Il ne doit pas souffrir. De cris et de nos éclats qui nous font plus rires. C'est la rose des vents celle que l'on ne peut cueillir. Elle passe dans le temps, qui crée des souvenirs.

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Durée 3:25

Stari Most

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

J'étais un dieu élancé Au profil bien cambré Depuis 500 ans, je tenais Sur mon dos, les gens marchaient Puis un jour, je n'ai pas compris Cette guerre m'a tué ainsi Stari Most Stari Most Stari Most À vouloir son territoire on devient tous barbares. J'étais un dieu plein de secrets Aux passerelles des orientées Et l'occident me tenait Sur ces chemins, on me disait Que l'espace est du passé Alors, je vous laisse passer. Stari Most Stari Most Stari Most À vouloir être barbare on m'a détruit à Mostar. J'avais deux pieds de géant enraciné pour longtemps. Ils m'ont vidé de mon sang Dans le tonnerre et leurs boucans Mais la Neretva ne voulait pas de moi Et toi tu m'as vu, tombé là Stari Most Stari Most Stari Most Il n'est jamais trop tard De me reconstruire à Mostar Mais je guette cet espoir De ne plus voir ces barbares Stari Most

Durée 4:17

Deux accords

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Sur deux accords au moins J'ai construit une mélodie Qui s'en va et qui vient se répète et te suit Sans couplet ni refrain, mais cela se construit Attends il y a aussi les paroles en appuis Chanson en construction Chanson d'inspiration Chanson en gestation Chanson de réaction Mettre de belles paroles qui ne froissent personne Ou bien des compliqués pour mieux vous paumer. De parler de ces gens qui nous gouvernent Et de les critiquer sans mettre trop de haine Chanson d'autogestion Chanson de révolution Chanson d'insurrection Chanson de contradiction Sur trois accords au moins J'ai construit une chanson Qui s'en va et qui vient mais sans prétention Et sous ta douche si tu peux la fredonner C'est au moins j'aurais bien travaillé Chanson d'attention Chanson d'affection Chanson de frustration Chanson d'illusions Sur quatre accords au moins J'ai construit une mélodie Qui s'en va et qui vient se répète et te suit Écoute bien aussi sans les paroles Elle te semble fade et beaucoup moins drôle Chanson sans opinons Chanson en sélection Chanson en diffusion Chanson en conclusion.

Album enregistré en 2017 avec Pro Tools 8.0 sur un MAcBook Pro avec la Digi 003 de Digidesing avec un micro B-2 PRO Behringer et un micro AKG Perception 170 (Chant et guitare).

4 inédits de Bonbons club

(1) Mon seul univers(Paroles de Marie-Agnès Ramondou, 3'31 inédit)

(2) Un week-end sur deux (Paroles de Marc Bernard, inédit)

(3) Bye Bye Toulouse (Paroles de Céline Cabos et de Michel Propilosky,inédit)

(4)Plus comme avant (Paroles de Philippe Lautard, inédit)

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