TEXTES ALBUM Des terres, la terre

Durée 3:31

Java bien

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

Sur les couleurs de ma vie. Je danse la java. Je passe du jaune au gris quand tu es loin de moi. Sur les couleurs de ma vie je danse la java. C'est l'arc-en-ciel ici qui se tapit par là. (refrain) Allez Mistinguett Viens à la guinguette nous tourner la tête en java Java bien, java mal Java bien, java mal Sur les couleurs de ma vie je danse la java. Mélange de vert-de-gris et de rouge en voilà. Sur les couleurs de ma vie je danse la java. C'est le ton bleu azur qui valse en sépia. Allez Mistinguett Viens à la guinguette nous tourner la tête. En java Java bien, java mal Java bien, java mal Sur les couleurs de ma vie je danse la java. C'est brun aujourd'hui Sur du vert d'acacia Sur les couleurs de ma vie je danse la java. Dans le noir de tes nuits Au baiser de fuchsia Allez Mistinguett Viens à la guinguette nous tourner la tête (bis) en java. Java bien, java mal. Annonce

Durée 4:25

Quand tu dors

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Quand tu dors tu serres tes poings forts tu tends aussi tes mains Tes rêves ne sont plus chagrins quand tu dors Tournez toutes les aiguilles Toi tu restes immobile Sans penser à demain tes songes sont malins. Sommeil, sous la lune en or Toi mon beau trésor Dans la dune de ta nuit Le sable s'est enfoui sur la plage qui veille. Quand tu dors Tes yeux voient mille décors. Tu pars sur des étoiles tu mets toutes voiles dehors. Quand tu dors Tournez toutes les planètes Galaxie c'est la fête Tes rêves sont forts Le ciel est à l'aurore Sommeil sur la ville endormie Toi ma belle chérie Le marchand de sable vient de passer Sous les pavés la plage qui veille. Quand tu dors tu serres tes poings forts tu tends toujours tes mains Tes rêves ne sont plus chagrins. Quand tu dors Tournez toutes les aiguilles Toi tu restes immobile Sans penser à demain tes songes sont malins.

Durée 2:59

Sous toi

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Sous toi, il y a l'ivresse en mousse des bois il y a l'envers du vent frais à l'endroit. Prends des ailes et va-y, lances toi. Sous toi L'univers, il danse à cent pas, il y a la terre et l'éther tu sens ça. Prends des ailes et va-y, tire-toi Mes jours, mes nuits sont là sans bruit d'amour. Mes jours, mes nuits se racontent toujours. Tes rires tes pleurs ça c'est du doux bonheur Tes rires, tes pleurs tout est là dans mon coeur Sous toi, Sous toi, L'air qui passe s'imagine sans loi, il y a le temps qui rumine ses dégâts. Prends des ailes et va y, lances toi Sous toi C'est l'assassin de ton poids, tu ne vois pas, il y a l'hiver et l'été, tu sais ça. Prends des ailes et va y, tire toi. Tes jours, tes nuits sont là sans bruit d'amour. Tes jours, tes nuits se racontent toujours Mes rires mes pleurs ça c'est du doux bonheur Mes rires, mes pleurs tout est là dans mon coeur Sous toi Sous toi il y a la lune qui fleurit tes traces parfois. Mets tes pieds où tu veux, tu as froid. Prends des ailes et va y, tire toi, Tire-toi

Durée 3:36

Douce chanson

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Quel est douce ma chanson quand elle file dans ta maison. Elle se glisse sous tes draps Puis traverse les rideaux plats en taffetas Quel est douce ma chanson quand elle passe à l'unisson. Elle frôle tes nuits blanches Et s'épanche sur tes hanches en avalanches. Elle se perd et puis revient Dans un coin secret de ton jardin, elle t'appelle et te prend la main Quel est douce ma chanson Elle s'est collée sur ton plafond. Elle danse et se dandine Dans le placard de cuisine de la voisine. Quel est douce ma chanson quand elle sort de ce flacon Que tu poses sur ton coup qui me rend jaloux et fou. Elle se perd et puis revient Dans un coin secret de ton jardin. Elle t'appelle et te prend la main Quel est douce ma chanson. Elle passe sur ton balcon, elle descend les escaliers pour atterrir sur ton palier. Quel est douce ma chanson. Elle fond comme un gros glaçon sorti du Frigidaire Va plus loin pour prendre l'air. Elle se perd et puis revient Dans un coin secret de ton jardin. Elle t'appelle et te prend la main Quel est douce ma chanson elle est partie pour de bon. Elle veut vivre d'autres vies Avec d'autres mélodies Tant pis. Quel est douce ma chanson

Durée 3:39

Mais quand l'amour n'est plus là (Paroles et musique de Michel Propilosky)

Mais quand l'amour n'est plus là Dites-moi, ce qu'il nous reste. Mais quand l'amour n'est plus là Dites-moi, on pense à quoi Même tristesse Même ivresse Même caresse qui nous chantent Même discours Même amour Même retour qui nous tentent Même soupir Même désir, même sourire qui nous parlent Même espoir Mêmes regards Mêmes miroirs qui nous calment Mais quand l'amour n'est plus là Dites-moi, ce qu'il nous reste. Mais quand l'amour n'est plus là Dites-moi, on pense à quoi ? Même chagrin, même refrain même câlin qui nous gagnent, même danger même regret même reflet qui nous sauvent Même sueur Même erreur Même des pleurs qui nous blessent, mêmes sanglots, même des mots même bobo qui nous soignent. Mais quand l'amour n'est plus là Dites-moi, ce qu'il nous reste. Mais quand l'amour n'est plus là Dites-moi, on pense à quoi ?

Durée 3:24

Centaure

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Ceux qui ont la peau dure, cachent bien leurs blessures, de sang-froid. Ceux qui ont la peau dure, comment ils se rassurent, de sanglots. Mais qu'ils soient petits ou grands, le temps restera le temps, mais qu'il soit petit ou grand le temps restera le temps, des pluies des vents.

Ceux qui ont la peau dure, se poussent dans l'azur pour faire semblant. Ceux qui ont la peau dure se brûlent à la rupture D'être sanguin. Mais qu'ils soient petits ou grands Le temps restera le temps Mais qu'il soit petit ou grand Le temps restera le temps.

Ceux qui ont la peau dure aux mâchoires de luxure des cent dents. Ceux qui ont la peau dure, s'en tapent de l'usure, c'est centaure. Mais qu'ils soient petits ou grands, le temps restera le temps. Mais qu'il soit petit ou grand, le temps restera le temps.

Durée 2:47

La Fée Électricité

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Je suis le chemin du confort, consommez-moi sans effort. Deviner qui vous invitez, venez me domestiquer je suis la Fée Électricité.

Mon énergie est aussi fossile. Elle veut des vents peut dociles. Mais ils sont tous à mes pieds, car rien ne peut m'arrêter. Je suis la Fée Électricité. Vous m'avez donné de l'uranium et je tousse pour mille ans en personne Et oui vous m'accusez d'être dans tous les foyers. Je suis la Fée Électricité. Et pleine lune n'a pas vu ça, la terre éclairée comme ça. Vous dites à demi mots, faites tourner la dynamo aux frais de la Fée Électricité. À la Noël, je suis en âge, car vous n'êtes vraiment pas sage.

Tout que vous me faites consommer mis il ne faut pas abuser. Je suis la Fée Électricité Je suis gourmande et j'en veux plus. Demandez-moi d'aller sur Uranus.

Je suis prête à me sacrifier Au nom de la postérité. Je suis la Fée Électricité Je suis le chemin du confort, consommez-moi sans effort et quand tout aura sauté, je renaîtrais de mille attraits. Je suis la Fée Électricité.

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Durée 3:14

Mes amis

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Un jour de désespoir, j'ai pris quatre euros De la poche de droite de mon superbe manteau Et puis je me suis dit, pourquoi ne pas jouer au loto Et voilà que le soir même je sortais le gros lot Un milliard de billets et des pièces à gogo Deux heures après j'avais plein d'amis sur le dos J'avais la baraka et je continuais à tout-va, de remiser mes gains au casino de Salies-du-Salat Et à mon grand espoir et pas celui du patron. Je faisais sauter la banque en prenant tout le pognon et tous les gens qui avaient vu la scène on dit d'une seule voix “Tu es notre copain et l'on t'aime ”. Mais arriva sur moi une petite voix qui me dit à l'oreille pour la première fois. Tu es surpris, d'avoir plein d'amis Fais le tri, de tes amis, fais le tri de tes amis. Je n'arrivais pas à y croire, j'avais beaucoup d'argent Des amis à Wall street et aussi en Orient. Ils m'ont dit, tu peux suivre nos très bons conseils Et miser le tout en bourse c'est plus d'oseille Une semaine après, j'ai tout perdu et je cherchais mes amis sur les grandes avenues, mais arriva sur moi une petite voix qui me dit à l'oreille une deuxième fois. Tu es surpris, tu n'as plus d'amis Fais le tri, de tes amis, fais le tri de tes amis En ce jour de désespoir, je me repose sous un pont Avec d'autres amis, pour partager leurs opinions Et eux aussi avaient facilement fait fortune En gagnant par hasard de gros magots et de la tune. Ils m'ont dit maintenant tu peux compter sur nous Car sans le sou nous on reste amis avant tout Depuis ce jour, je n'entends plus la petite voix qui me disait à l'oreille et répétait à chaque fois. Tu es surpris, tu as d'autres d'amis. Tu as d'autres d'amis, tu as d'autres d'amis

Durée 3:31

Les coups bas

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Je donne un coup de pouce à tous mes amis et donne un coup de main pour celui qui est en soucis.

Mais ce que je ne supporte pas, c'est tout simplement les coups bas. Je donne un coup de tête au ballon de la fête puis donne un coup de pied pour mieux l'éclater, mais ce que je ne supporte pas, c'est surtout les coups bas. Je donne un coup d'oeil à la monnaie rendue. Je donne un coup de pompe à l'escalier descendu, mais ce que je ne supporte pas, c'est encore et toujours les coups bas. Je donne un coup de gueule au chien qui aboie et donne un coup de reins à ceux qui font les lois, Mais ce que je ne supporte pas, c'est pire encore les coups bas. Je donne un coup franc au match de télé et donne un coup de bec à la chronique annoncée, mais ce que je ne supporte pas, c'est tout simplement les coups bas. Je donne un coup droit et cela à revers et donne un coup de bambou et ça passe de travers, mais ce que je ne supporte pas, c'est encore et toujours les coups bas

Durée 2:32

Ma terre

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Je suis propriétaire de ma terre, de ma terre. Je suis propriétaire, de ma terre à moi Ta terre, ta terre, toi le propriétaire Ta terre, ta terre, ne nous appartient pas. Mes terres, mes terres, moi le propriétaire Mes terres, mes terres, mes terres sont à moi. La terre, la terre toi le propriétaire La terre, la terre, aller partage-là. Je suis terre-à-terre moi le propriétaire. Je suis terre-à-terre c'est mon bien à moi À terre, à terre, toi le propriétaire La terre, la terre, ne nous l'empruntons qu'une fois. Me taire, me taire, moi le propriétaire Me taire, me taire, plutôt enterrez-moi (bis) Sur terre, sur terre nous sommes locataires Sur terre, sur terre, mais tu ne comprends pas.

Durée 2:41

La rivièra

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Il y a des falaises qui s'écroulent dans la mer Formant des galets que l'on retrouve en eau claire. Mais moi, je fonds de glace autour de tes bras Ceux qui m'enlacent C'est la Rivièra. Il y a de beaux nuages qui s'écroulent dans le ciel Formant des pluies d'orages d'hivers torrentiels. Mais moi, mes larmes sont tombées tous près de toi Et puis elles s'enlacent sur ton cou C'est la Rivièa. Il y a des matins sans soleil et sans odeur Formant des journées trop longues pour ton coeur. Mais moi, les fleuves sont immenses avec toi Et puis ils s'enlacent dans tes yeux C'est ma Rivièra. Il y a des falaises qui s'écroulent dans la mer Formant des galets que l'on retrouve en eau claire.

Durée 3:14

Caché sous les feuilles

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Caché sous les feuilles de vignes, quel beau décor Ou sous le porche de cette entrée, tu m'aimes encore. Puis on se sépare derrière ce grand chêne Avec la promesse dite, mais qu'est-ce que l'on s'aime. Avec la promesse dite, mais qu'est-ce que l'on s'aime. Mais où on va, quand tout dort Sous la lune, aux reflets d'or Puis au matin, bien dessiner Dans la brume et ces effets. On va se… Caché sous les feuilles de vignes, quel beau décor Ou sous le porche de cette entrée tu m'aimes encore Puis on se sépare derrière ce grand chêne Avec la promesse dite, mais qu'est-ce que l'on s'aime Avec la promesse dite, mais qu'est-ce que l'on s'aime. Mais où l'on traîne quand nos pas passent ici ou bien par là. Au matin sous la pluie, ils nous tardent d'être réuni. Pour se… Caché sous les feuilles de vignes, quel beau décor Ou sous le porche de cette entrée tu m'aimes encore. Puis on se sépare derrière ce grand chêne Avec la promesse dite, mais qu'est-ce que l'on s'aime Avec la promesse dite, mais qu'est-ce que l'on s'aime Si tu me dis, que ce jeux-ci peut continuer toute la vie. Il n'est jamais trop tard Pour se revoir dans le soir, pour se caché sous les feuilles de vignes, quel beau décor Ou sous le porche de cette entrée, tu m'aimes encore. Puis on se sépare derrière ce grand chêne, avec la promesse dite, mais qu'est-ce que l'on s'aime, avec la promesse dite, mais qu'est-ce que l'on s'aime.

Durée 2:33

Courir

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Tu arrives à la gare, il se fait trop tard Le train que tu voulais, vient juste de te quitter Aller tu galopes pour t'y accrocher, Mais rien n'y fait tu as trébuché. Arrête de courir car on ne rattrape pas. Le temps que l'on laisse et qui file entre les doigts. J'arrête de te dire qu'il faut partir à point. Quelqu'un me l'a dit, en rimes ce matin. Si tu veux voyager sur un beau bateau le vent qui le pousse est le même que les flots. Alors, pourquoi vouloir mettre un moteur qui noirci la mer pour du cent à l'heure. Arrête de courir car on ne rattrape pas, le temps que l'on laisse et qui file entre les doigts. J'arrête de te dire qu'il faut partir à point. Quelqu'un me l'a dit, en rimes ce matin. Mais si tu dois tripler ta somme de travail, un jour ou l'autre ton fric ne sera que ton rail et ton billet de train celui que tu devais prendre, il sera sûrement le dernier Et cela sans attendre. Arrête de courir car on ne rattrape pas, le temps que l'on laisse qui file entre les doigts. J'arrête de te dire qu'il faut partir à point, quelqu'un me l'a dit en rimes ce matin.

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