Discographie

TEXTES ALBUM KO

Durée 4:04

L'amour là

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

La vieille dame aux pâquerettes Va souvent voir ses moineaux Au jardin des Eaux Profondes Prés du manège aux oiseaux Elle fait valser sa grande robe Pour leur dire "Bonjour c'est moi " Venez donc dans ma ronde Je vous offre mon repas Ce jour-là elle croisa L’amour là, l'amour là Ce jour-là elle croisa L’amour là, l'amour là

Elle tomba sur son regard d’ange En traversant le sous-bois Baissant la tête, le cœur étrange C'est dit la chance passe par là Elle retrouva vite son courage Pour lui confier à lui son cœur Mais un violent un gros orage A fait tomber mille pleurs Mais voilà, ce jour-là, l'amour là, l'amour là Mais voilà, ce jour-là, l'amour là, était ailleurs

La vieille dame aux pâquerettes Est reparties dans le soir Elle fait le tour vers la ginguette Elle garde un formidable espoir De retrouver un jour son ange Ce beau regard qu'elle a croisé Ces yeux d'amours et un échange Elle veut finir en beauté

Au jardin des Eaux profondes Prés du canal des Sans Soucies Si vous croisez une fleur orange Avec du blanc, elle est pour lui

Durée 2:45

Le jour de la nuit

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

C'est le jour de la nuit Et toi tu ne dors pas Y'a le ciel étoilé A travers les toits Mais le dôme de la ville Et son halo humain Nous privent de nos rêves Pour tous nos lendemains C'est le jour de la nuit C'est le jour de la nuit C'est le jour de la nuit

C'est le jour de la nuit Et toi tu montres du doigt Une étoile qui te dit J'étais caché par là De coupoles en clochers De nos vies éclairées Et de faire taire le ciel Du reflet des quartiers

C'est le jour de la nuit C'est le jour de la nuit C'est le jour de la nuit

C'est le jour de la nuit, pas le 14 Juillet Citoyen de l'espace Il ne faut pas oublier Que les lucioles, les oiseaux Rêvent trop fatigués De nos peurs et sanglots Des lumières du passé

C'est le jour de la nuit C'est le jour de la nuit C'est le jour de la nuit

p> Durée 4:11

Trafiquants d’eau de blues

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Trafiquants d’eau de blues Tu as beau changé de nom Trafiquants d’eau de blues C’est de la contrefaçon Trafiquants d’eau de blues Pauvre vieux cèlera Trafiquants d’eau de blues Un jour, l’eau te manquera. Marché de l’eau, pour assoiffer, Les oppressés, Marché de l’eau, Pour assoiffer, les opprimés. Trafiquants d’eau de blues Tu es sur ton nuage. Trafiquants d’eau de blues Du haut de tes barrages. Trafiquants d’eau de blues Tu nous mets tous en cage. Marché de l’eau, tout acheter, Sans te mouiller, Marché de l’eau, Tout détourner, sans te priver. Trafiquants d’eau de blues. Tu achètes nos rivières Trafiquants d’eau de blues Nos larmes sont amères Trafiquants d’eau de blues Les pluies tombent en colère. Marché de l’eau, ça c’est acheté, sans te mouiller. Marché de l’eau, tout détourner, sans te priver. Trafiquants d’eau de blues Tu es un vrai rapace. Trafiquants d’eau de blues Ta loi fait froide de glace. Trafiquants d’eau de blues Ce soir tu bois la tasse.

Durée 3:10

La véranda

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

La véranda n'est pas fermée Vient avec moi t'engouffrer C'est une aubaine Et écouter le vent siffler L'automne nous donne des ailes Derrière ces verres épais L'on fera notre palais Sans dieux, ni roi, ni reine Que la lumière vienne nous aimer A l'ombre de nos veines Prend ce jour Prend cette nuit Toi et moi Bien à l'abri Prend ce jour Prend cette nuit Toi et moi Bien à l'abri

La véranda n'est pas fermée Ne cherche pas la clé de cet hôtel Les étoiles viennent nous inviter A voir leurs ballets éternels Les matins bien réveillés C'est le déjeuner au bar des hirondelles Que la lumière vienne nous aimer A l'ombre des persiennes

Prend ce jour Prend cette nuit Toi et moi Bien à l'abri Prend ce jour Prend cette nuit Toi et moi Bien à l'abri

La véranda n'est pas fermée Vient avec moi t'amuser A perdre haleine Il est temps de rentrer Le froid vient s'installer Pas de problème Prend ce jour Prend cette nuit Toi et moi Bien à l'abri Prend ce jour Prend cette nuit Toi et moi Bien à l'abri

Durée 3:10

Croisé

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

On s'est croisé Moi je montais Tu descendais Métro Châtelet C'était un matin à 9 heures Tu portais un bouquet de fleurs On s'est croisé Sans se parler Dans cette journée D'un jour férié Arrivé sur les grands boulevards J'ai fait demi-tour pour te voir Revenons à présent Sur les pas des passants De notre rencontre On s'est croisé Toi tu montais Je descendais Métro Châtelet Il était 9 heures et quart J'avais rendez-vous dans un square Dieu qu'il pleuvait Ce temps mauvais Me déprimé Je te chercher J'ai pris ce métro au hasard Direction la gare Saint Lazard Revenons à présent Sur les pas des passants De notre rencontre On s'est revu Au coin de la rue Puis retrouvé A tout jamais

Durée 3:33

Amis donnés

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Regarde, regarde notre monde Nous sommes vraiment trop nombreux Nombre de personnes trop pauvres, sur notre petite planète bleue. Attends, attends deux secondes, ont va s'aider si tu le veux. Amis donnés la main aux gens, déshérités par notre temps.

Regarde, regarde notre terre Mais qui là saigne comme ça. Elle crie de faim, d'eau et d'air, ont ne là respect pas. Attends, attends faut pas se taire il faut chanter tous à la fois. Amis donnés la main aux gens. Déshérités par notre temps.

Regarde, regarde notre ville tous ces gens qui n'ont pas de toits. Ils partent tous à la dérive, de squat en squat ils ont froid. Attends, attends c'est impossible, de ne rien faire quand on les vois. Amis donnés la main aux gens, déshérités par notre temps.

Durée 3:25

La noce

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Voilà la belle saison la brume est repartie. Le village à l'horizon, sort de son oublie. Le bon samaritain se marie aujourd'hui. La ferme de son voisin, est au paradis. En ce jour du mois de mai, attirer par des anges. Le soleil nous fait de l'effet, Y a comme un truc étrange. Oh hé braves gens, Vous êtes tous conviés. Aux noces de ces amants, remplis de libertés. Voici la mariée la brune du pays, et sa bague dorée, celle qui fait envie. En ce jour du mois de mai, la fille aux cheveux orange a changer et tout cassée. Plus de noce dans la grange. Voilà la belle histoire de deux âmes libérées, de leur amour voilé. Depuis quelques années le bon samaritain N'a toujours rien compris. Questionne ses voisins mais où sont-elles parties?. En ce jour de fin de mai, Orange et Brune sont en voyage. Au soleil des cocotiers pour oublier leurs cages.

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Durée 3:42

Petite fleur

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

En traversant les rues de ma cité, sur le bitume, elle s'était égarée. Je l'ai prise au cœur de ma main pour la poser sur la table du jardin. Ce n'était rien, ce n'était qu'une petite fleur qui a éclairci ta vie de bonheur. Ce n'était rien, ce n'était qu'une petite fleur. Qui est rentrée par là dans ton cœur, dans ton cœur. En passant près d'un puits puis d'un étang. Je l'ai croisé sans voir ceux qu'il avait dedans. Quelle était belle et sentait bon l'encens. Heureuse et gaie elle chante simplement. Je n'étais rien, je n'étais qu'une petite fleur, qui a éclairci ta vie de bonheur. Ce n'était rien, ce n'était qu'une petite fleur. Qui est rentrée par là dans son cœur, dans ton cœur.

Durée 3:25

Cadum mélodie

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Cadum mélodie Tu restes endormie Cadum mélodie Je pense à ta vie Cadum mélodie Mon parfum chérie Tes mains sur place Restent en surface Puis me surpasse Et elles repassent Laissent leurs traces Je fonds de glace Cadum mélodie Pourquoi tu t'enfuis Cadum mélodie Au printemps joli Cadum mélodie Tes nuits sont fleuries Les matins passent Toi tu t'effaces Puis tout ce casse Tu ne fais plus face Reviens de grâce Tout se déplace hélas Cadum mélodie Tu tombes dans l'oubli Cadum mélodie Ne plus vivre ici Cadum mélodie Mais te revoici

Durée 2:43

La belle endormie

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

La belle endormie reste dans sa chambre. Sa grande maladie se transforme en cendre. C'est une bombe que voilà, a l'heure H elle sortira. C'est une bombe que voilà, son énergie nous prendra. La belle démolie des endroits du monde. Sa grande folie se donne à la ronde.

Fukushima, Nagasaki, Hiroshima, oui ça suffit.

La belle endormie A fermée sa chambre Sa grande maladie Voudrais bien se vendre C'est une bombe que voilà. A l'heure H elle sortira C'est une bombe que voilà Son allergie nous prendra La belle éblouie Des endroits du monde Sa grande folie Se donne à la ronde

Fukushima Nagasaki Hiroshima Oui ça suffit

Durée 3:00

La route est longue

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

La route est longue j'ai encore mal au dos. La route est longue Le soleil est trop haut. Mes pieds me tombent, sur le sol encore chaud. La route est longue, me voilà au repos. La route est longue et te revoir au plus tôt. C'est l'hécatombe, je ne suis plus qu'un fardeau. La route est longue, dans ce désert sans eau. La route est longue, sur ma peau rien que mes os. Au loin des ombres, qui s'effacent en sanglots. Mais dans ce désert d'amour, ce qui reste de nous deux. Tout est sec et sans retour, je ne vois plus tes yeux. La route est longue, je ne dis plus un mot. La route est longue, pour s'oublier nous deux. Je cherche l'ombre, d'une oasis en feu. La route est longue, j'ai encore mal au dos. La route est longue, le soleil est trop haut. Mes pieds me tombent sur le sol encore chaud.

Durée 3:22

Tu mens Lise

(Paroles et musique de Michel Propilosky)

Là je m’entraine Là je m’emporte Là je m’en tire Là je m’enterre Là tu m’emmènes Là tu m’empêches Là tu m’ennuies Tu mens Lise mon trésor Tu mens Lise mon trésor Là je m’en fous Là je m’enivre Là je m’englue Là je m’en sort Là tu m’embrasses Là tu m’enlaces Là tu m’emballes Tu mens Lise mon trésor Tu mens Lise mon trésor Là je m’en vais Là je m’enfuis Là je n’enrage Là je m’engouffre Là tu mensonge Là tu m’enchantes Là tu m’embrouilles Tu mens Lise mon trésor Tu mens Lise mon trésor M’engager, m’enjamber tous les jours avec toi. M’enjouer, m’enchainer tous les jours dans tes bras. Bien voilà. Là je m’emploie Là je m’encadre Là je m’embauche Là je m’en fiche Là tu m’angoisses Là tu m’embarques Là tu mens pire Tu mens Lise mon trésor Tu mens Lise mon trésor

Durée 3:33

La tête ailleurs

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

Tu as beau me parler, tu temps frais qu'il fait. Tu as beau me dire qu'il pleut encore des souvenirs Tu as beau me raconter les choses du passé C'est beau tous ça, mais je préfère ma bulle à moi Car j'ai la tête ailleurs, la tête ailleurs. Je me suis coupé du monde extérieur. Car j'ai la tête ailleurs, la tête ailleurs. Enfermé dans ma sphère intérieure. Mes jambes et bras sont partis de chez moi Tu disais quoi !? Tu dis qu'un grand voyage vers Santiago Le faire à deux sur un immense et beau bateau Tu dis de faire un enfant pour demain C'est beau tous ça, mais moi je retourne dans mon coin. Car j'ai la tête ailleurs, la tête ailleurs Je me suis coupé du monde extérieur Car j'ai la tête ailleurs, la tête ailleurs Enfermé dans ma sphère intérieure Mes pieds et mes mains me semblent trop loin Mais tu parles bien ? Tu as beau me parler, tu temps frais qu'il fait Tu as beau me dire qu'il pleut encore des souvenirs Tu as beau me raconter les choses du passé C'est beau tous ça, mais je préfère ma bulle à moi Car j'ai la tête ailleurs, la tête ailleurs Je me suis coupé du monde extérieur Car j'ai la tête ailleurs, la tête ailleurs Enfermé dans ma sphère intérieure Mes jambes à mon coup, les épaules dessous Je suis parmi vous

Durée 2:47

Blues babines

( Paroles et musique de Michel Propilosky )

Chaque fois que tu me prépares un petit plat, qu’il soit Grec ou bien Chinois. J’ai le blues, j’ai le blues, blues babines. J’ai les lèvres pendantes pour toi, mais pas pour l’éclaire au chocolat. J’ai les lèvres pendantes pour toi, mais surement pas pour rhume baba. J’ai le blues, j’ai le blues, blues babines. J’ai la bouche ouverte pour toi, mais surement pas pour le confis d’oies. J’ai la bouche ouverte pour toi, ce n’est pour du flan oui crois-moi. J’ai le blues, j’ai le blues, blues babines. J’ai la bouche en feu pour toi, mais pas besoin de d'harissa. J’ai la bouche en feu pour toi, met du sucre dans les petits pois. Car j’ai le blues, j’ai le blues, blues babines. Chaque fois que tu me prépares un petit plat, qu’il soit Turc ou bien Chinois. J’ai le blues, J’ai le blues, blues babines. Car j’ai le blues, J’ai le blues, blues babines

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